Nous sommes emballés, chez Oracle, de passer à l’étape suivante de notre déploiement de centres infonuagiques. Ainsi, cinq nouveaux centres voient le jour. Des centres ont été ajoutés en Arabie saoudite (Djeddah), en Australie (Melbourne), au Japon (Osaka), au Canada (Montréal) et aux Pays-Bas (Amsterdam). Tous ces centres sont fonctionnels, on peut y accéder par l’entremise de console infonuagique Oracle. Avec ces cinq établissements et ceux qui ont été lancés au cours des six derniers mois, notre offre totalise 21 centres totalement indépendants, axés sur le nuage Oracle de 2e génération . D’ici la fin de 2020, ce total devrait être porté à 36.
Nos clients font tourner des systèmes d’enregistrement essentiels, dans le nuage. Or, aux fins de reprise sur sinistre, ils doivent exécuter les charges de travail dans des centres infonuagiques totalement indépendants. Nos clients précisent aussi que ces centres doivent se trouver dans le même pays, pour satisfaire les exigences de résidence de données. Par conséquent, quatre de ces nouveaux centres – Osaka, Melbourne, Montréal et Amsterdam – s’appuient sur un autre se trouvant dans le même pays ou, pour celui d’Amsterdam, dans un autre pays de l’Union européenne, en l’occurrence l’Allemagne (Francfort). En Arabie saoudite, où se trouve le cinquième centre, un autre sera construit d’ici la fin de l’année.
Oracle prévoit créer au moins deux centres dans presque tous les pays visés par ses activités. Grâce à ces récents ajouts, nous nous approchons de cet objectif. Le Royaume-Uni, les Émirats arabes unis, la Corée du Sud, l’Inde et le Brésil seront aussi dotés d’un deuxième centre d’ici la fin de 2020.
La popularité du nuage Oracle a grandement augmenté, au cours des dernières années. Nos deux premiers centres infonuagiques de 2e génération ont été créés aux É.-U.; d’autres ont vu le jour peu après, à Londres et à Francfort. Nous avons ensuite mis au point une approche soutenant notre plan de réponse rapide aux besoins des organisations, partout dans le monde. Toutes les étapes du processus de création des centres ont été automatisées. Ainsi, la vitesse de l’expansion se conjugue avec la qualité et la cohérence. Nous avons créé chacun de ces centres pour répondre aux demandes d’organisations majeures qui voulaient tirer profit du nuage Oracle.
Nous activons aussi une interconnexion multinuage unique, entre Oracle et Microsoft Azure, dans de plus en plus d’endroits. Nous proposons des liens préconfigurés, à large bande passante et à latence faible, entre les centres infonuagiques d’Oracle et de Microsoft de l’est des États-Unis, de Londres et de Toronto. D’autres seront d’ailleurs lancés bientôt.
Nous constatons les effets bénéfiques de cette expansion rapide partout dans le monde, surtout dans les pays où se trouvent les centres les plus récents. Le Japon est l’un des pays où l’on adhère le plus rapidement aux centres infonuagiques Oracle. Dix des plus grandes organisations japonaises se servent dorénavant du nuage Oracle. Nos clients japonais, forts d’un deuxième centre à Osaka, déploieront plus facilement leurs systèmes d’enregistrement essentiels dans un nuage optimisé. Ils n’auront donc plus à stocker leurs données hors du Japon.
Au Moyen-Orient, où 87 % des plus importantes entreprises (selon les revenus) s’appuient sur Oracle, notre avancée est toute aussi emballante puisque 54 % d’entre elles sont passées au nuage. En Arabie saoudite, on ajoutera un centre à celui qui se trouve à Djeddah. Deux autres seront lancés aux Émirats arabes unis. Il s’agit, pour Oracle, d’une première incursion dans la région du Golfe en matière de centres infonuagiques de 2e génération. Cette zone était mal desservie par les autres fournisseurs de nuage. De fait, Oracle est le premier fournisseur de nuage public à lancer un centre en Arabie saoudite.
Le centre de Melbourne est le deuxième que lance Oracle en Australie. Celui de Sydney, ouvert en août 2019, a suscité une réaction très favorable. Ainsi, les dix plus grandes organisations australiennes se servent désormais du nuage Oracle. Le deuxième assure des capacités de stockage national qui renforceront nos liens avec les entreprises australiennes. Des distances considérables séparent l’Australie des pays voisins les plus près. Le deuxième centre servira donc à régler les problèmes de conformité et de latence découlant de l’acheminement de données sur de longues distances.
Notre centre de Toronto a été lancé en janvier 2019. Il s’agissait de la première étape du plan d’expansion mondiale d’Oracle, en matière de centres infonuagiques. Les systèmes d’enregistrement de bon nombre d’organisations canadiennes d’envergure s’appuient maintenant sur la plateforme infonuagique Oracle de 2e génération, pour sa performance, sa fiabilité et son évolutivité. Nous sommes ravis de proposer un deuxième centre aux organisations canadiennes. Elles pourront ainsi mettre au point des solutions qui résistent aux sinistres et satisfont les exigences canadiennes en matière de résidence de données. Nous nous réjouissons de l’élan supplémentaire que suscite l’ouverture du centre de Montréal.
Pour conclure, le centre indépendant d’Amsterdam est le quatrième de ce type, en Europe. Les autres centres se trouvent au Royaume-Uni (un commercial et un gouvernemental) et à Zurich, en Suisse (commercial). Dans l’Union européenne, les centres conjoints d’Amsterdam et de Francfort sont un gage d’efficacité, pour les entreprises européennes et multinationales. Il leur est aussi plus facile, dorénavant, de composer avec les exigences de conformité, au quotidien.